Généalogies célèbres – Charles Dumont
Charles Dumont né le 26 mars 1929 à Cahors. Après avoir entendu les oeuvres de Louis Armstrong, il tombe sous le charme de la musique jazz et se dote d’une véritable passion pour la trompette.
Il décide alors de dévoiler ses inspirations et, en 1960, « Non, je ne regrette rien », interprétée par Édith Piaf, le propulse au sommet d’une carrière de compositeur épanouie.
Charles Dumont passe ses études à Toulouse, mais ne les réussit pas facilement. Ébloui par les inspirations de Louis Armstrong, il décide, à son adolescence, de poursuivre une carrière de musicien.
À peine âgé de 15 ans, Charles Dumont fonde son premier orchestre de jazz et enrichit, au fil des années, ses performances musicales. Ces dernières ne tarderont pas d’ailleurs à être récompensées au Conservatoire de Toulouse.
Le jeune homme déménage ensuite à Paris, avec le rêve enfoui de pouvoir faire carrière dans les mélodies. Au coeur d’un apprentissage passionné, il se retrouve pourtant face à un problème de santé. Ses exercices de trompettes étant repris trop tôt après l’ablation de ses amygdales, il a dû être hospitalisé pour hémorragie.
Le jeune talent devait alors, à sa sortie d’hôpital, éviter impérativement de jouer de cet instrument.
Désillusionné, Charles Dumont se fond dans une peine profonde pendant une certaine période, sans musique. Cela ne durera pourtant pas longtemps car, après avoir fait une entrée dans une église, il fait la rencontre du Maître Paul-Sylva Hérard.
C’est seulement en 1960, avec la chanson « Non, je ne regrette rien » qu’il co-écrit avec le parolier Michel Vaucaire, que le succès sera au rendez-vous. Le titre, interprété par la chanteuse Édith Piaf, attirant tout de suite l’attention du public.
Une collaboration fructueuse qui donnera encore fruit à plus de trente titres, si l’on ne cite que « Mon Dieu », « Flonflons du bal », ou encore « Les amants ».
Ce dernier, co-écrit par Charles Dumont et Édith Piaf même, sera d’ailleurs chanté en duo par les deux artistes, en 1962.
En dehors d’Édith Piaf, Charles Dumont collabore avec bon nombre d’artistes au fil des années 60. Il travaille entre autres avec Jacques Brel en 1964 pour le titre « Je m’en remets à toi », avec Mireille Mathieu pour « Les gens qui s’aiment, mon Dieu », ou encore avec Chantal Câlin pour « Une femme de 40 ans ».
Ses titres sillonnent également le monde de la télévision et apparaissent notamment dans la série « Michel Vaillant » en 1967.
À la fin des années 60, avec la disparition d’Édith Piaf, Charles Dumont se lance dans une carrière en solo. Continuant en même temps de collaborer avec plusieurs artistes, il sort son premier album baptisé « Une chanson » en 1976.
S’ensuivent « Dis cette mélodie », « La fille de Jacob », ainsi que « Les chansons d’amour » qui, étant une véritable révélation dans la musique française, deviennent disques d’or.
Au coeur du succès, Charles Dumont se produit également sur plusieurs scènes françaises. Après un premier récital à l’Espace Cardin de Paris, il se produit entre autres au Théâtre de la Renaissance, à l’Olympia, ou encore au Casino de Paris.
En 2019, Charles Dumont sort l’album « L’Âme sœur », 14 titres qui paraissent en 2019 avec le titre éponyme « L’Âme sœur » en guise de single. La même année, le chanteur tient un récital exceptionnel au premier étage de la Tour Eiffel.
Il est décédé le 18 novembre 2024 à Paris à l’âge de 95 ans.
Généalogie
N° 1 – Charles Dumont, né le 26 mars 1929 à Cahors (46) décédé le 18 novembre 2024 à Paris (75)
N° 2 – Jean Dumont, né le 21 mars 1898 à Eymoutiers (87), Chaudronnier.
Marié le 7 juillet 1923, Paris IVème (75)
N° 3 – Valentine Aurélie Lavergne, née le 6 octobre 1905 à Lavercantière (46), décédée le 30 août 1982 à Cahors (46)
Les grands-parents de Charles Dumont
N° 4 – Frédéric Dumont, né le 2 juin 1852 à Eymoutiers (87), décédé le 29 octobre 1917 à Eymoutiers (87), Négociant ferblantier – Cafetier.
Marié le 14 octobre 1874 à Eymoutiers (87),
N° 5 – Rose Cécile Bessette, née le 24 novembre 1855, décédée le 30 avril 1933 à Eymoutiers (87)
N° 6 – Frédéric Lavergne, né le 9 juin 1858 à Bouzic (24), décédé le 4 octobre 1919 à Lavercantière (46), maçon.
Marié le 10 avril 1890 à Lavercantière (46)
N° 7 – Sophie Fauchie, née le 13 septembre 1871 à Lavercantière (46), décédée le 29 novembre 1951 à Cahors (46)